mercredi 22 juin 2011

Note

Bonjour la compagnie,

En attendant que je débute la rédaction du troisième jour de balade dans la ville, je tenais à répondre à certaines questions qui m'ont été posées :

-Le premier article c'est le jour 1 donc la lecture commence de l'article le plus en bas à celui le plus en haut (mais de haut en bas concernant le texte de chacun).

-Un jour de vécu = plus ou moins 5 jours d'écriture (en comptant la mise en place des images)

-La tour de Kapla est en effet une création personnelle (réalisée pour éviter de mettre les images habituelles de la tour en feu) et pour illustrer. Montage =10 à 15 min puis j'ai placé derrière un fond blanc et j'ai ensuite photographié (avec l'avion dedans). Retouchage via photophiltre studio.

-Je parle beaucoup de Pauline c'est vrai mais vous n'en voyez pas de photo. En fait je n'en ai pas avec moi. Cependant, si elle me fait l'honneur de m'en communiquer alors elle prendra également part visuellement aux articles.

-Vous pouvez commenter les photos via les commentaires ^^.

-Les photographies non spécifiées comme extérieures au site sont de moi :p.
Allez, un cliché pour la route héhéhé :


Ah, n'hésitez pas à partager les articles sur facebook ;).


South

dimanche 12 juin 2011

New York (Jour 1)

[Pour des raisons techniques, les photos prises avec le téléphone portable ne pourront être affichées pour le moment.] 

Note : A tout moment, il vous est possible de cliquer sur les images pour les voir en taille d'origine.

Hello everybody,

Pour ce voyage, je suis parti seul. C'est à dire, sans membre de ma famille ni ami pour m'accompagner.
Ce premier point constitue en lui-même une grande première et il est à noter que le dernier voyage en avion (de ligne) que j'ai effectué remontait à Août 1998 pour un périple à travers tout le Québec.

L'avion étant à 11 heures (heure française), j'ai quitté mon domicile en taxi direction l'aéroport Charles de Gaulle à 6h45 du matin. Autant dire qu'il fallait être bien réveillé ^^.

Rendu à l'aéroport, je dois dire que j'ai légèrement galéré pour trouver l'embarquement de la compagnie sur laquelle je comptais voyager. Fort heureusement, les gens sont serviables et m' ont rapidement remis sur le droit chemin.


 Vers 8h, il y avait déjà une queue de folie. Il faut souligner le fait que les files d'enregistrement concernaient également Hawaï, New York (où je me rendais) et Miami.
Je pensais que l'enregistrement se limitait à la vérification des pièces d'identité et de transport, en fait ce jour là, ils ont mis le paquet :
-Vérification de l'hôtel où je descendais et de la réservation ;
-Vérification du temps de séjour que je comptais effectuer ;
-Vérification de la marque de mon appareil photo, de celle des piles (si, si vous avez bien lu ^^) ;
La dame qui s'occupait de cette tâche me demanda même les noms de toutes les personnes ayant pu être en contact direct avec cet appareil, son prix (Oo), sa date d'achat et ce jusqu'aux réparations éventuelles effectuées dessus. A se demander si c'était pour s'acheter le même ou si c'était bien dans sa check list...

Très vite, une fois ma valise expédiée dans la zone appropriée, je pu me diriger vers les Gates (portes d'embarquement). Derrière contrôle de douane. Je reviendrai sur le passage qui suit quand je parlerai de l'équivalence américaine.

Ceinture, chaussures, montre, portable, tout ça est déposé dans un bac en plastique qui est soumis aux rayons. De l'autre côté de son écran, un agent regarde sans trop d'intérêt les objets qui passent. J'ai d'autant mieux compris l'affaire du journaliste qui avait fait passer une arme en pièce détachée. S'ils ne connaissent pas la forme, je pense que ça passerait sans problème. Cela fait peur, non? Pas autant qu'à moi cela dit...

De l'autre côté de la douane c'est une ambiance plus cosy que le va et vient des voyageurs pressés et stressés. Je pu enfin profiter d'un petit temps d’accalmie. Je ne l'ai su que bien plus tard mais il est strictement interdit de prendre les appareils en photo. Oups...héhéhé. Mesure vigipirate de ce que j'ai entendu.

Tout en marchant d'une passerelle à une autre, j'ai fini par arriver dans le hall d'embarquement de ma porte, la A37, la porte A38 étant celle à destination de Miami.
Si je m'en souviens si bien c'est parce que j'ai eu droit à l'appel de passagers en retard pendant au moins 30 à 45 minutes avant le décollage de leur avion. Heureusement qu'il s'agissait là d'un dernier appel *rires*.

Il y avait différentes rangées de sièges et elles étaient communes aux deux portes d'embarquement. A cet instant, on se rend compte qu'il va falloir s'occuper pendant plusieurs heures. On essaye de voir qui se trouvera dans notre vol, on essaye de voir ce que lit notre voisine de la rangée située en face pour au final sortir son propre livre afin de passer le temps. Me concernant j'avais un roman fort sympathique "Ravage" de Barjavel. Un roman dont l'un des chapitres raconte le crash mondial des avions suite à un changement du flux électrique. Un excellent roman en soi mais peut être à éviter de lire avant et pendant un trajet en avion (pour les gens qui ont déjà peur sans ça^^').

11h à ma montre et l'embarquement a déjà commencé. Il y a plusieurs groupes et chacun monte l'un à la suite de l'autre.

-Les passagers du groupe 4 sont priés de se rentre porte A37 pour embarquement immédiat, les passagers du groupe 4 [...] déclara une jeune hôtesse de l'air.

Les classes affaires tout d'abord, le premier groupe de passager et ainsi de suite. Ce jour là j'étais dans le quatrième groupe. On me redemanda ce que contenais mon sac jusqu'à l'embarquement. Ma réponse fut du matériel pour écrire et dessiner (j'aime beaucoup ça) mais également de quoi lire. Ce à quoi un steewart me répondit "Bonne initiative, moi aussi j'aime dessiner, ça détend. Allez, bon voyage!!!"

A ce moment, j'ai rangé le téléphone portable pour l'appareil photo. Certes moins discret mais surtout autorisé^^.
 Coup de chance pour moi, je me suis retrouvé près de l'aile droite, juste derrière le turboréacteur^^. Il s'agissait d'un boeing 747-300. C'est à dire d'un appareil possédant une vitesse de croisière de 853km/h.

D'une capacité de 225 passagers, notre voyage fut estimé à 7h environ. Soit un départ de CDG à 12h et une arrivée à JFK aux alentours de 13h (Heure de New York). Ce qui nous donne bien les 6 heures de décalage avec nos voisins américains.

Première surprise à bord, le personnel s'exprime en anglais avec l'accent américain (cela dit c'est une compagnie américaine donc en fin de compte la surprise que j'ai pu avoir lorsque le steewart s'est adressé à moi est à relativiser).

Par chance, j'ai eu la possibilité de croquer quelques clichés avant que l'appareil ne rejoigne notre piste de décollage via son taxiway.
Encore une fois, j'ai appris que cela n'était pas vraiment autorisé mais, comme on ne m'a rien dit sur le moment...
Les volets s'ouvrirent et l'avion prit de la vitesse jusqu'à quitter complètement le sol. Je ne me lasserai jamais de cette sensation de portance qui arrive subitement avec chaque décollage. ^^

Le voyage se déroula sans encombre et je n'ai rien à signaler de particulier. Cela dit, j'ai trouvé une araignée rouge dans ma salade du déjeuner et ce alors qu'elle était emballée dans du cellophane, enjoy^^.

J'étais seul pour l’aller dans ma rangée et je n'ai pas vraiment discuté avec d'autres passagers (excepté les règles d'usages et la récupération d'un oreiller par les voisins de derrière [vous souriez mais ce petit détail trouvera toute son importance plus bas, c'est pourquoi il me semblait bon de l'évoquer dès cette partie]).

C'est donc vers 13 heures (heure locale) que nous avons posé les roues sur l'aéroport JFK de New York. Ici commence donc l'aventure et vous allez voir, je ne suis pas au bout de mes surprises.

A l'instant où nous avons débarqué j'ai rallumé le téléphone pour passer sur le réseau américain. La file se massa en deux zones. La première destinée aux résidents et la seconde aux "étrangers". La première se termina en une trentaine de minutes, la notre dura plus longtemps.

Pour la première fois depuis mon départ, j'entendis du français. En effet, une dame était en grande conversation avec un jeune qui semblait avoir mon âge et parlait (allez savoir pourquoi dans un moment pareil), d'une émission sur les arnaques qu'elle avait vue la semaine passée. M'incrustant à l'aide d'une anecdote, je fis connaissance avec le jeune homme et nous avons bien avancé dans la file. Coïncidence ou non, il s'agissait d'un étudiant de troisième année d'une école de commerce de Rouen, c'est à dire à moins de deux heures de chez moi (en voiture)!!! Il se révéla être plus expérimenté que moi concernant la douane et me donna quelques astuces concernant New York qu'il connaissait déjà. Tout en discutant, nous avons bien avancé dans la file et nous avons été dirigés vers un guichet où la circulation était relativement fluide.

La procédure reste encore et toujours la même. Prise d'une photo, des empruntes digitales et remise du document rempli sur internet concernant nos objectifs aux USA.
A ce sujet, voilà un petit florilège des questions posées (et cela vaut le détour...) :

"Avez-vous déjà été arrêté(e) ou condamné(e) pour un délit ou un crime réprouvé par la morale publique ou pour une infraction relative à des substances contrôlées ; ou avez-vous été arrêté(e) ou condamné(e) pour deux délits pour lesquels la peine totale était de 5 ans ou plus ; ou avez-vous été impliqué(e) dans le trafic de substances contrôlées ; ou demandez-vous l’admission aux Etats-Unis dans l’intention de vous livrer à des activités criminelles ou immorales ?""

Après ça, celui qui répond "oui" n'a vraiment pas toute sa tête...

C'est l'expérience de mon "camarade improvisé" qui nous a permis de gagner un temps précieux sur le reste de la file. Cette étape franchie, nous avons pu récupérer nos bagages. Ok, je vous le concède, mon anglais était très approximatif, mais l'essentiel est de se faire comprendre non ?

Alexis -puisque tel était son nom- se dirigea vers la correspondance avec Pitsburg, quant à moi, je fis une pause pour appeler des proches.

Ma première erreur fut d'avoir allumé le téléphone avant la sortie de l'aéroport, des agents me rattrapèrent mais face à mon incompréhension de l'accent, ils ne purent pas faire grand chose hormis me laisser partir. D'ailleurs, j'ai continué mon chemin pendant qu'ils retournaient aider un voyageur, et ce, sans demander mon reste. Il faut dire qu'aux USA, les contrôles, ça ne plaisante pas.

Et là grand moment de solitude. On vient de subir sept heures d'avion, un contrôle de douane américain et la fatigue se fait sentir. Pourtant, on se retrouve à treize heures de l'après-midi, un sac à dos et une valise à roulettes à la main, dans un pays totalement inconnu et complétement seul. Remarquez, c'est plutôt sympa en fait. Aucun esprit de contradiction. *rires*

En bon touriste francophone que je suis, j'ai mitraillé avec mon appareil photo. Il faut, dire que lorsqu'on sort de l'aéroport, le monde n'est plus totalement le même que lorsque l'on est entré à CDG. Non, terminé les couleurs mornes, les taxis sombres et la noirceur de la région parisienne... Là-bas, une seule domine, le jaune !!!

Je savais que le moyen prévu par l'hôtel dans lequel je descendais était une navette. J'avais tous les papiers sur moi pour prouver du règlement préalable de cette dernière mais je n'avais aucune idée de la manière dont elle se présenterait à moi. Je m'attendais à voir un écriteau, quelque chose, du moins un indice. Il n'en fut rien !!!

Un peu plus loin, je découvris un panneau  m'indiquant qu'il existait des navettes à direction de Manhattan toutes les demi-heure. Finalement, la chance semblait tourner. Une fois la fameuse navette garée, je pu m'entretenir avec le chauffeur.

Je réussis à comprendre que la navette allait bien à Manhattan mais qu'il y avait plus court. Tiens donc ?! A ce moment là j'aurais dû me méfier mais ma valise avait déjà été installée dans le coffre. Encore une fois, mon anglais scolaire en pris pour son grade^^. Le type n'accepta pas mon document et se contenta de m'indiquer la porte du véhicule.

C'était une petite navette et on nous compta. Je me souviens que nous étions une vingtaine et que le véhicule était presque plein. Nous partîmes finalement quelques minutes plus tard en direction de la sortie de JFK. Le conducteur devait avoir à peu près mon âge et le contrôleur que nous prîmes quelques arrêts plus loin à peu près autant. Tous deux semblaient originaires d'Amérique centrale. Les deux hommes travaillaient en chantant, en blaguant et avaient l'air de s'amuser dans leur travail . Trouvez moi un endroit où un contrôleur de bus fait de même en France, pour ma part, je n'ai pas encore trouvé !!!

Le contrôleur s'assura que chaque passager avait son titre de transport mais sembla m'oublier, c'était curieux et j'aurais peut être dû comprendre à ce moment là mais, ce ne fut pas le cas.

Suivant des yeux les rues qui filaient sur ma carte comme au dehors, je pris sur moi de descendre à l'arrêt que le chauffeur m'avait fait comprendre comme le seul existant sur cette ligne concernant Manhattan. Oui mais voilà, j'étais relativement loin de l'hôtel. Vous avez dit étrange ? Vous avez raison^^...


Je me suis retrouvé encore plus seul qu'à l'aéroport à traîner ma valise à roulettes dans Manhattan. Ce qui est bien par contre, c'est que vous pourriez avoir une glace à la fraise sur la tête, on ne vous dirait rien...

Grâce à la carte et à la géographie du lieu, je réussis à rejoindre Central Park et donc mon hôtel.
En arrivant, quelle ne fut pas ma surprise de retrouver un groupe de français en train d'assister à un briefing, MON GROUPE!!!!
Eh mais, il doit y avoir un soucis là, ce sont les gens qui m'ont rendu mon oreiller dans l'avion et que j'ai doublé à la douane Oo. Comment pouvaient-ils être là alors que j'avais pris la navette avant eux...

L'explication ne tarda pas à arriver. Il s'avéra qu'il s'agissait effectivement de mes compagnons de vol. Seulement, ayant eu tellement d'avance à la douane (merci à Alexis ^^), j'ai été plus rapide que les autres et je suis passé avant que le chauffeur "officiel" ne débarque avec son panonceau.

Conclusion : Je me suis aperçu que la navette que je venais de prendre était une navette normalement payante et non comprise par l'hôtel !!! Le comble ? Le contrôleur m'avait fait grâce d'une amende sans doute en voyant mon incompréhension totale... Pour débuter, il fallait dire que je faisais fort^^.
 Une fois mes mésaventures racontées, tout le monde y alla de son expérience pour reconstituer les morceaux du puzzle.

Mon prénom et mon nom étaient connus de tous car le chauffeur avait refusé de partir de l'aéroport sans moi !!! En effet, il lui avait été indiqué que tout le monde était présent sur le vol^^'. Un temps d'attente plus tard, ils étaient finalement partis directement sur l'hôtel. Là où moi j'avais perdu mon temps à déambuler dans New York!!!

Moralité ? Cinq minutes de retard sur le groupe et des rencontres avec les locaux qui resteront gravées dans ma mémoire. Si c'est pas de la gestion parfaite du timing ça. héhéhé.

 Contrairement à ce qu'on aurait pu penser dans ce genre de situation, les personnes du groupe n'avaient pas l'air de m'en vouloir tant que ça pour avoir attendu un peu plus longtemps à JFK.

Je fis très vite la connaissance de gens forts sympathiques et je retrouva la dame qui discutait avec Alexis dans la file de la douane, cette fois accompagnée d'une jeune femme du nom de Pauline (que je tiens à saluer au passage car elle se reconnaîtra sûrement ;) ).

C'est donc après avoir pris possession de ma chambre que nous nous sommes lancés dans la conquête de New York et en premier lieu de son parc central :p.


Comme je le disais plus haut, j'avais déjà eu l'occasion de longer le parc pour trouver l'hôtel mais je n'avais pas pris le temps d'y faire un crochet.


C'est donc en fin d'après-midi que nous nous sommes rendus dans ce lieu emplit de charme, d'images et de souvenirs de films.

Car effectivement, lorsqu'on se promène à New York, il y a vraiment cette impression d'évoluer au sein d'un film. La majorité de ceux-ci se déroulant scénaristiquement dans "La Big Apple" ont bien été tournés dans ses rues :p.

Le parc constitue un mythe à lui tout seul. L'un des lieux au monde où l'on reste sans mot. L'un de ces lieux où seul l'ébahissement s'exprime (et les écureuils accessoirement^^). Il ne s'agit là que d'une première approche. Je consacrerai le cinquième jour à l'exploration plus poussée du parc et je vous invite à vous y reporter si cela vous intéresse plus particulièrement.

Il était dans les environs de 16h (heure de New York) lorsque nous y entrâmes pour la première fois. Premier étonnement ? Le nombre de sportifs et sportives qui évoluent sur les grands axes de fréquentation. Contrairement à la France, on se serait cru dans une sorte de mini marathon car il s'agissait là d'un flux continu de personnes. C'est assez impressionnant et le phénomène ne cessa de s'amplifier au fil du temps. Très probablement des New-Yorkais qui venaient une fois leur travail de la journée terminé.

Comme une image vaut mieux qu'un long discours (du moins c'est ce qu'on dit) je vous laisse le temps d'une suite d'images.

Ces dernières, je le sais, parleront d'elles-mêmes.

Un américain s'est prêté de lui même à la photo et le résultat est des plus sympathiques. Merci à lui donc et à Pauline qui tenait l'appareil ^^. Dès le premier soir, nous fûmes confrontés aux écureuils de central Park ainsi qu'à des oiseaux oranges assez étranges (mais non, ce ne sont pas des d'abricots sur le sol^^...). Ce qui est également assez spectaculaire c'est de toujours pouvoir distinguer les buildings et ce quelque soit notre position dans le parc. La ville n'est en effet jamais bien loin...



Puis, lorsque la luminosité devînt critique, nous avons rebroussé chemin pour retourner vers l'hôtel. Le risque est toujours de rester calqué sur le rythme "français" et de manger lorsque la faim se fait sentir. Fort heureusement, nous avons pris sur nous et nous avons dîné à l'heure américaine sur le coup de 19h.

Pour cela, nous nous sommes rendus au Ben-Ash restaurant. Ce dernier était placé devant l'hôtel Wellington où nous logions. Autre surprise, les plats et leurs proportions. A new-York, mieux vaut prendre les  consommations les plus petites parmi celles proposées. A titre d'exemple, lorsque vous commandez un verre de jus-d'orange et un hamburger frites simple, vous finissez avec un mug de Jus d'orange et un double big-mac... Non, pour le coup, vous ne mourrez pas de faim à New-York, pour peu que vous ayez de quoi payer bien sûr.

C'est donc sur ces derniers mots que je clôture ce premier article tout en sirotant un jus d'orange à l'intérieur du Ben-Ash.

"Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir ; coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s'écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !" Charles Beaudelaire-Le voyage
 South

mardi 7 juin 2011

Avant de commencer

Bonjour à toutes et tous sur ce nouvel outil qu'est le blog Lewary-around the World.


Avant de commencer, je trouvais bon de faire un petit tour du propriétaire histoire de fixer certaines choses.

Je me présente, je me nomme Valentin, j'ai 19 ans et je suis étudiant dans le secteur de la biologie industrielle. Résidant en région parisienne et plus précisément dans le val d'Oise, il m'arrive de voyager dans différents pays et c'est à travers ce blog que je compte retracer ces périples.

L'objectif est multiple. Tout d'abord, écrire pour se souvenir des différentes personnes rencontrées et des lieux visités mais aussi pour le partager avec les amis, la famille et les gens qui le souhaitent =).

Et puis, si cela vous sert pour un voyage futur, ça serait merveilleux.
 J'ai cependant l'intention d'en faire un carnet de bord. C'est à dire que j'y noterai mes impressions au fur et à mesure de mes excursions. Ne vous inquiétez pas, j'imagerai et si j'ai le temps et l'envie, j’agrémenterai le tout de dessins personnels mais, nous aurons le temps d'en reparler.

Puisqu'on en vient aux images et aux textes, vous serez sympas de ne pas vous servir sans m'en demander l'autorisation. Tout ce qui sera posté sur ce blog est ma propriété et je posterai le lien de la licence "créative commons" très bientôt. Seul le fond du blog m'est pour le moment étranger même si  je pense que cela changera bientôt (mes images étant en HD, elles sont trop lourdes pour le moment).

Quant aux musiques, elles appartiennent aux divers artistes cités dans le lecteur sur votre gauche. Ce dernier fonctionne comme un lecteur "normal".

La barre en bas de votre écran est de couleur orange. Vous pouvez ainsi me contacter via une "Tchat Box". Pour cela il vous suffit d'un compte facebook ou myspace. Pas d'inquiétude à avoir cependant puisque votre nom ne sera pas affiché. De même, il n'y aura aucun lien sur votre prénom pour renvoyer sur votre profil. De cette manière, votre anonymat est préservé. Si vous possédez un compte tweeter ou Yahoo et non les deux premiers cités, n'hésitez pas à me l'indiquer et je les ajouterai comme moyen de connexion possibles.

Le nombre de personnes connectées est indiqué sur la gauche de cette même barre. Vous pouvez également localiser les pays (et uniquement les pays) des visiteurs.

Mon pseudo couramment utilisé sur la toile est "South". Je suis un grand fan de bandes dessinées (à ce propos, vous trouverez mon site web dans les liens à gauche) et d'aéronautique.

D'autres hobbies ? Oui l'écriture et le dessin entre autres choses.
Niveau sport je n'ai pas vraiment le temps d'en pratiquer en ce moment (à cause des études) mais je joue au tennis quand l'occasion se présente et je fais du tir à l'arc aussi. Faute de temps, je me limite principalement aux footings cette année (eh, on fait comme on peut hein :p ).

Petit récap sur les pays à venir :

En premier lieu l'état de New-York. J'ai en effet passé quelques jours à Manhattan en Avril dernier et vous verrez c'est un lieu magnifique =D.

Dans un deuxième temps, Montréal  (Québec). Pour le coup ça sera du live puisque j'y séjournerai les deux mois d'été que sont Juillet et Août.

Le programme vous plaît ?

Que dire de plus hormis le fait que j'espère que vous vous plairez sur ce nouveau blog. Prêt pour le décollage? Alors attachez votre ceinture : Trois, deux, un, zérrroooooo !!!!!


"Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page." Saint Augustin


South